Vos données pour plus de durabilité !

Oui - Car la durabilité n'est plus un "nice-to-have", mais un "must-have". 

Une étude réalisée par Capgemini en 2020 a révélé qu'environ 79 % des consommateurs modifient leurs préférences d'achat en fonction de la durabilité. Au total, 66 % des consommateurs achètent des produits ou des services en raison de leur durabilité. On peut donc supposer qu'une entreprise perd des clients si la durabilité n'est pas prise en compte. 

L'étude indique également qu'une perte de chiffre d'affaires allant jusqu'à 6 % peut être observée lorsque la durabilité n'est pas pratiquée. 

• • Taxonomie de l'UE : la classification des activités économiques écologiquement durables. Pour ce faire, 6 objectifs environnementaux ont été définis, dont 4 conditions doivent être remplies pour qu'une activité économique puisse être classée comme écologiquement durable. Pour en savoir plus sur la taxonomie de l'UE, tu peux ici lire. 
  • Loi de mise en œuvre de la directive RSE DE (CSR-RUG) : publication d'informations sur les aspects non financiers concernant l'environnement, les travailleurs et les questions sociales, le respect des droits de l'homme et la lutte contre la corruption et les pots-de-vin. Il s'agit à chaque fois de fournir les informations nécessaires à la compréhension de l'évolution des affaires, des résultats et de la situation de la société, ainsi que de l'impact de ses activités sur les domaines concernés(DNK).
  • Non-Financial Reporting Directive EU (NFRD) : publication d'informations non financières et relatives à la diversité pour les entreprises de plus de 500 salariés. Pour cela, des informations sur les questions environnementales, les questions sociales et le traitement des travailleurs, le respect des droits de l'homme, la lutte contre la corruption et les pots-de-vin et la diversité au sein des conseils d'administration des entreprises doivent être publiées(European Comission).
  • Loi sur le devoir de diligence/la chaîne d'approvisionnement : obligation de publier la responsabilité en matière de droits de l'homme et le devoir de diligence tout au long de la chaîne d'approvisionnement d'une entreprise. Les entreprises bénéficient à cet effet d'un "cadre légal clair, proportionné et raisonnable pour remplir leurs obligations de diligence en matière de droits de l'homme"(BMAS).

Oui, les organisations doivent s'attendre à des pénalités en cas de non-respect des directives de l'UE sur la taxonomie, par exemple. 

Dans la mesure où les résultats se situent dans le cadre des prescriptions réglementaires, il ne se passe rien en premier lieu. Mais à long terme, cela deviendra un désavantage concurrentiel, car de plus en plus de clients exigent une gestion et des produits durables. 

Il faut plutôt considérer le mauvais résultat de sa propre performance de durabilité comme une opportunité - car aucun maître n'est encore tombé du ciel et on ne peut que s'améliorer. Il est donc possible de prendre des mesures appropriées après un mauvais résultat afin d'améliorer sa propre Sustainability Performance. 

Pour les petites et moyennes entreprises, il est difficile de rester à jour en matière de Sustainability Analytics. Il peut être difficile d'avoir une vue d'ensemble actualisée, surtout lorsqu'il s'agit des réglementations légales qui y sont liées (p. ex. taxonomie de l'UE, loi sur la chaîne d'approvisionnement) et des normes respectives en matière de rapports. Mais c'est justement en raison de cette complexité du sujet que de plus en plus de sociétés de conseil se sont spécialisées dans le thème de la "durabilité" afin de faciliter le travail des clients finaux dans le nouvel environnement de la durabilité. Il est donc recommandé de prendre contact avec des sociétés de conseil telles que s-peers AG.